Sokchearta
Thérapeute psycho-corporelle, Paris 20
Sokchearta

Voyage à travers ton essence

Thérapeute psycho-corporelle, Paris 20

Devenir mère, la sophrologie un allié


Etre mère et devenir mère est une vraie préoccupation et peut alourdir la charge mentale. Le burn-out parental, et oui ça existe aussi ! Et d’autant plus quand le travail perd de son sens, on a tendance à sur-investir le foyer et la famille et à se mettre une forte pression : être productive, avoir une maison nickel, tout doit être parfait y compris avec les enfants ou même avant l’arrivée du premier bébé.

 

Comme toute femme qui décide de se préparer à ce marathon, j’ai investi le rayon librairie et Google : le livre de bord de la future maman, redécouvrir le don sacré de la grossesse…Etre parfaite le jour J (avec Etienne bien sûr) pour accueillir ce petit bout de chou qui nous rendra tant heureux et heureuse, parents accompliiiiiis. Oui oui, car j’aurais tout bien fait comme il faut, le régime alimentaire, la marche, le yoga prénatal, l’acupuncture, l’ostéopathie, l’haptonomie et la sophrologie. Evidement, c’est là qu’Étienne grince les dents et ferme le portefeuille et que maman, belle-maman et toutes les femmes autour de moi me sautent dessus en toute bienveillance « tu veux mon expérience ? tu verras c’est génial, ça a transcendé ma vie » ou « ohlalala oui je comprends, j’ai souffert moi aussi mais ça vaut le coup ».

 

Et puis j’ai découvert les autres lectures, Mona Chollet, Femme désirante-femme désirée ou encore Femmes qui courent avec les loups…et par la même occasion, les autres sujets tabous ! Et j’ai compris à quel point, oh que oui, être femme et être mère pouvait avoir un autre sens ; toute ma formation et la construction de mon accompagnement envers les femmes et la péri-natalité prenaient ainsi une autre dimension.

La sophrologie, un allié pour accepter et mieux vivre les modifications corporelles de la grossesse

On oublie, pris par le rythme de nos vies que tout ne se joue pas que le jour J. La grossesse dure 9 mois, 9 mois indispensables pour préparer son corps et se préparer sur tous les autres plans  psychologiques et émotionnels.

 

De premier abord et en toute évidence, dire que les modifications corporelles, qu’occasionnent la grossesse, impactent le moral, c’est un secret de Polichinelle. Au delà d’impacter le moral, toutes ces modifications physiologiques perturbent le système et accentuent la fatigue, créant aussi des tensions dans le corps. Il y a pour commencer la perte de conscience du schéma corporel (en exemple toutes les fois où on se cogne le pied contre la chaise). Il y a ensuite les bobos gastriques, certes liés à la place grandissante de l’embryon (et ses enzymes) mais n’oublions pas que le ventre est aussi le centre des émotions telles que l’anxiété ou la colère. Il y a les insomnies liées aux difficultés de trouver une position confortable mais aussi parce que le cerveau tourne en boucle, l’appréhension de l’accouchement et des premières semaines « saurai-je y faire ? serai-je une bonne mère ? ».

 

Pratiquer des exercices de relaxation dynamique en complément d’un suivi médical et des techniques douces telles que l’ostéopathie ou l’acupuncture permettent de mieux vivre l’évolution de son corps et de rester en pleine confiance et sereine pendant toute la grossesse en connexion avec son bébé, en toute intuition, à son écoute et en conscience de ses besoins.

La sophrologie, un allié pour libérer votre stress et vos angoisses

Il y a une autre angoisse que l’on partage peu lorsque l’on est enceinte, souvent balayée par ses pairs et le fameux instinct maternel…Etre mère, et pas n’importe quelle mère, cette mère parfaite comme Jeannine ou n’importe quelle autre femme mais pas moi. Tous ces doutes et les tensions qui en découlent. La grossesse et notamment la 1ère est aussi une crise maturante. On passe de femme à mère avec en arrière-fond les projections de sa propre mère mais aussi de sa famille (et celle de son partenaire). Ajoutée aux remontées émotionnelles liées aux hormones, cette construction peut bouleverser.

De plus, le parcours étant de plus en plus médicalisé, il est parfois difficile d’oser poser la question qui tourne en boucle et d’autant plus si on est en pleine remontée émotionnelle.

 

Dépasser le stress et les angoisses à travers des techniques de méditation, relaxation et visualisation positive permettent de prendre du recul, de la distance et de la hauteur pour mieux comprendre votre parcours et rester actrice de votre accouchement, à votre écoute et à l’écoute de votre enfant.

La sophrologie, un allié le jour J

En complément de la préparation de l’accouchement avec votre sage-femme, maîtriser et adapter la respiration en fonction de l’avancée du travail, de la dilatation du col, des poussées peut vous accompagner à rester sereine et accueillir votre bébé

La sophrologie, un allié pour ne pas rester isolée durant le post-partum

Et oui bébé est arrivé, tout le monde est soulagé et il faut le dire, tout le monde n’a yeux que pour le bébé. Et vous ? Comment vous sentez-vous après tous ces changements physiologiques et émotionnels dont la chute d’hormones ?

 

Dur dur de se plaindre, d’être entendue, d’admettre que l’on est fatiguée et encore ces doutes qui reviennent. Impossible de trouver l’oreille attentive et bienveillante pour en parler autour de vous, "c’est merveilleux tu as un beau bébé ». Oui j’ai un beau bébé et je l’aime mais je doute et j’ai du mal à reprendre ma place en tant que femme, en tant que conjointe. Comment je m’affirme en tant que mère avec Jules qui a quelques semaines et Baptiste à 3 ans qui me demandent de l’attention. Comment je mets en place cette triangulation avec mon/ma partenaire pour que chacun·e trouve bien sa place et s’épanouisse. Comment nous reprenons une vie en tant qu’amant ?

 

En post-partum, dans les premiers mois, consulter un·e sophrologue voue permettra de trouver un espace où libérer votre parole dans une écoute bienveillante et sans jugement. Oui le post-partum est un moment difficile où tout n’est pas rose mais garder la confiance en soi, se réapproprier son corps, s’affirmer par ses propres choix en tant que mère, pas la mère parfaite mais celle qui sait ce qui est mieux pour son enfant, par amour pour son enfant.

Quand démarrer un accompagnement ?

Idéalement dès le 5ème mois pour prendre le temps d’aborder et traiter les résonances émotionnelles.

Vous en êtes déjà à votre 7ème mois, pas d’inquiétude, il est encore temps !

Mais au-delà du 8ème, juste, juste…Les séances d’accompagnement doivent se terminer avant le 9ème mois.

Ensuite, après l’accouchement, je vous propose des séances, seule ou avec votre nourrisson, pour engager et libérer la parole, votre stress, vos doutes et rester confiante et sereine tout au long de ce nouveau chemin à 2, 3 ou +…tant que c’est votre choix !

Les formules proposées

Spécialisée dans cet accompagnement grâce à une formation « Sophrologie et maternité », j’ai à coeur d’accompagner toute femme ou couple qui ne veulent non pas que tout se passe parfaitement bien mais tout couple conscient de ces enjeux, en quête de lâcher prise pour vivre ce parcours avec amour et sérénité.


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